Sujet: FLYNN ◊ no place like london Mar 10 Mar - 22:44
Flynn Murray
23 ans 23 novembre Artiste à ses heures perdues, il s'occupe de la plonge dans un petit resto pour survivre Célibataire Colère Jamie Campbell Bower - Flynn MURRAY
CARTE D’IDENTITÉ → Il a plusieurs tatouages. Presque tous ont été faits l'année de sa majorité, personne ne connait leurs significations. L'un étant un aigle dans un nid, les ailes déployés sur le bas du dos, un autre étant l'inscription Μοῦσα, à gauche, juste au-dessus de la poitrine, l'autre étant une cage vide en-dessous de l'inscription, ce dernier a été fait récemment. Ils ne sont presque pas visibles, ce dernier portant toujours des tee-shirt dont la forme permet de bien tous les recouvrir. Par ailleurs, on lui connait un style vestimentaire sans prétention. N'ayant pas les moyens de dépenser énormément, tous ses vêtement semblent légèrement usés, de par leur couleur terne. Par ailleurs, lorsqu'un trou apparait, il se contente de les rafistoler négligemment avec un peu de fil à coudre. Il n'en reste pas moins dénué d'une certaine prestance qui est essentiellement due à son allure et à sa démarche ainsi qu'à sa coiffure qui, en dépit de son aspect approximatif, reste parfaitement travaillée et réfléchie. Il se considère comme un Samson des temps modernes, sauf qu'il tire de sa chevelure de l'inspiration et non de la force. De la force physique, il n'en a guère, sa grande taille combinée à sa morphologie lui donne un air presque fragile. Mais ne nous a-t-on jamais enseigné de toujours se méfier de l'eau qui dort? Derrière ses airs d'être faible et délicat, se cache, tapi dans l'ombre un démon. Effectivement, le jeune homme est une bombe à retardement. Enclin à la violence très fréquemment, lorsque la bête est lâchée, les dégâts peuvent être considérables, malgré son absence de masse musculaire. Il a soif de violence. Mais c'est une facette de lui qu'il n'accepte pas, il tente tout pour se contrôler du mieux qu'il peut. Mais lorsque la haine, la colère et la vengeance sont là, nul semble capable de l'arrêter. Il aura tendance à fermer les poings quand la tentation semble trop forte, tentant de se contenir en enfonçant ses ongles dans sa paume.. parfois jusqu'à en saigner.
PERSONNALITÉ → Parlez-nous de tout ce que l'on ne voit pas de votre personnage. Quel est son caractère? Comment se comporte t-il en société? Quel est son opinion vis à vis du conflit Montaigu/Capulet? Merci de respecter un minimum de 300 mots pour cette section. Aux premiers abords, c'est un jeune homme doux et sensible. Il fait partie de ces artistes torturés que nul semble pouvoir réellement comprendre. C'est un passionné, dans tout ce qu'il fait. Il a cet air émerveillé qui donne l'impression, à tort, qu'on a affaire un être aux niaiseries par milliers. Il est vrai qu'il est de nature optimiste, mais n'allez pas l'imaginer naïf, tout de même. Il reste terre-à-terre mais se plait juste à imaginer le monde meilleur qu'il ne l'est réellement. Il est de ceux qui s'excusent plusieurs fois de manière maladroite la plupart du temps. Si les coups de crayon n'ont pas de secret pour lui, les mots sont plus difficiles à manier. Il est loin d'être un grand orateur, au contraire, la communication est une discipline bien compliquée. Il a tendance à préférer la franchise aux multiples déviations que nous sommes censés emprunter en société. Par ailleurs, il a beaucoup de difficultés avec les conventions sociales en général, les voyant pour la plupart comme inutilité et pertes de temps. De ce que vous pouvez entrevoir à travers ce récit, vous imaginez qu'il peut être autant attachant qu'horripilant. Vous n'avez pas tort mais il se cache un enjeu davantage important derrière cette façade de poète torturé. Un être dangereux qui lutte contre sa nature, si bien qu'il en devient névrosé, développant des tics inquiétants quand la colère et la haine montent. Il est possessif, s'il estime que quelque chose comme quelqu'un lui appartient vous n'avez pas intérêt à vous mettre en travers de son chemin. Et oui, derrière ce corps svelte, le jeune homme peut se montrer d'une violence incroyable, tant dans les mots que dans les poings. Il est impulsif. Une tête brûlée, il ne réfléchit jamais bien longtemps avant de prendre une décision, préconisant qu'il faut toujours préférer son intuition à l'argumentation. La première impression est toujours la bonne. C'est pour cela qu'il ne porte guère les Capulet et Montaigu dans son coeur… Mais aussi parce qu'il reste persuadé que ces deux familles et leurs querelles ont aussi bien causé le malheur que le décès de Juliette, sa muse. S'il est du genre à rester en dehors des affaires politiques ou médiatisée, assurant que ça ne vaut pas la peine, cette affaire va le faire aller à l'encontre de ses propres principes. Il n'y a là aucune envie de faire voler la vérité en éclat, c'est juste plus fort que lui. On lui a pris Juliette, il ne peut pas rester là, sans rien faire.
DERRIÈRE L’ÉCRAN
SceauDeLaine
Âge ? Seize ans, pile l'âge, encore une preuve de mon swag. Sexe ? Une madame (askip) Où as-tu connu le forum ? Pub RPG Design! Personnage : Inventé! As-tu un autre compte sur FF ? J suis peut-être pas saine d'esprit, mais je ne suis pas encore atteinte de dédoublement de la personnalité… je crois.. Une remarque ? Vous êtes pas beaux, votre forum craint. Pfeuh. Non, plus sérieusement, je le trouve super joli, le contexte est super original et césakékoul, puis en plus, vous avez l'air tous de chics gens! Crédits images ? Gif n°1: thingsmayneverchange Mots codes : C'est parfait o/ Validé par Rosaline!
Sujet: Re: FLYNN ◊ no place like london Mar 10 Mar - 22:45
HISTOIRE
« J'ai b'soin de toi comme d'une infirmière, que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien, que tu r'fasses mes stocks de sérotonines, que tu m'dises que c'est rien. »
T'as pas vécu une enfances des plus faciles, mais disons qu'elles n'étaient pas des plus désagréables. De l'amour, ça, t'en as eu, c'est sûr. Fils unique, tes parents n'avaient d'yeux que pour toi. Ils en ont fait des sacrifices pour leur progéniture, pour qu'il ait une bonne vie. Ils se sont souvent privés pour tes beaux yeux et bien qu'au début, ça passait inaperçu, t'as compris les enjeux très vite. Ils ont tout fait pour que tu fréquentes des écoles un tant soit peu réputées. Il ont toujours préféré la paisibilité des campagnes aux mouvements perpétuels de Londres mais pour toi et ton éducation, ils ont trouvé un logement non loin. Un appartement plutôt cher pour ce que c'était, faut avouer. Ils ont trouvé de quoi te nourrir, ta mère était femme de ménage, ton père travaillait dans un bar. Rien de très gratifiant, pour eux qui étaient des fermiers respectés dans leur ancien village.
T'as pas pris longtemps à saisir tous les efforts qu'ils faisaient pour toi. Vers tes treize ans, t'étais résigné à les aider à ramener de l'argent. Evidemment, ils se sont de suite opposés, ils avaient fait tout ça pour que tu ais une scolarité respectable, pas pour que tu délaisses les cours au profit d'un job. Puis, t'avais pas l'âge pour faire quoique ce soit. Mais bon, t'as pas abandonné l'idée. Tu commençais déjà à gribouiller des trucs par ci par là. Ton prof d'arts avait remarqué ton talent. Tu t'es dit que tu pourrais toujours vendre tes dessins, faire comme les types dans les grandes rues qui proposent de vous faire une caricature. Personne t'a rien acheté. Faut dire que des morceaux de papier avec des petits dessins au crayon à papier, personne n'en voulait. T'as rien gagné, à part des regards de pitié, des chuchotements à ton égard comme une rumeur qui circulait.
Le lendemain quand t'es retourné dans ton établissement, les regards de travers se sont pas faits attendre. Un élève t'avait de suite reconnu la veille, tout s'est très vite répandu. En quelques secondes, t'étais encerclé, les questions et insultes fusaient. « C'est vrai que ta mère est une femme de ménage ? ». Un gars s'est approché un peu trop près. Et ce fut la première intervention du démon en toi. Tu t'en rappelleras à jamais. Tu t'es jeté sur lui. Les coups s'enchaînaient. T'arrivais pas à te contrôler, tu voulais pas t'arrêter. Au contraire chaque poing te donnait une étrange sensation. T'aimais ça, le voir à sang, ce mec. Un surveillant a réussi à te maîtriser sans avoir quelques dommages. Sans grande surprise, tu fus viré, presque rayé de la liste de toutes les écoles qui ne répondirent même pas à tes dossiers d'inscription.
Tu te rappelles plus trop ce qui était le pire : le regard de déception de tes parents qui semble n'avoir jamais cessé ou le plaisir que tu prends dans la violence ? Vous avez déménagé dans les mois à venir, dans le village de tes parents. Ils avaient tellement honte de toi qu'ils n'ont dit à personne la réelle cause de leur retour, assurant que l'air frais leur manquait lorsqu'ils nageaient dans la pollution. T'as vécu le reste de son adolescence sans grand accroc mais c'est surtout parce que t'as tout fait pour t'isoler. Tu t'es réfugié dans le dessin quand même tes parents semblaient avoir du mal à te regarder dans les yeux.
Au final, les relations avec tes paternels se sont arrangés. Mais tu t'es rendu compte que vous veniez de deux mondes différents. T'avais besoin de bruit, de mouvement, de changement. A tes dix-huit ans, t'es revenu dans la ville de ton enfance, Londres. T'as trouvé de quoi te nourrir, de quoi te loger. Un métier à la plonge, un appartement si petit qu'on pourrait se demander comment ta grande taille te permet d'y loger. Puis, tu dessines. Plus que d'habitude. T'as trouvé ta muse en fait, une certaine Juliette. Elle t'a de suite inspirée. Ce qu'elle avait dans son regard t'a de suite marqué. Et peu importe son histoire avec ce Roméo. Au contraire, tu ne pouvais pas être plus heureux pour elle, elle avait trouvé un échappatoire à sa maudite famille. Tu lui avais d'ailleurs apporté du soutien alors que ses parents l'avaient indirectement poussé à sa folie. Alors qu'elle était à l'hôpital, tu jouais son ange gardien et entretenais une correspondance avec elle, lui envoyant certains de tes dessins parfois.
Tu savais que tôt ou tard, l'éternelle querelle des Montaigu et Capulet iraient trop loin. Et ce jour là est arrivé. Ils t'ont pris Juliette, ils vont le regretter amèrement.
Rosaline S. Marchal
Envie ► Messages : 491 ► Crédits : Shade, means me! :b ► Date d'inscription : 22/08/2013
Sujet: Re: FLYNN ◊ no place like london Mar 10 Mar - 22:46
Sujet: Re: FLYNN ◊ no place like london Ven 20 Mar - 21:06
Bonjouuuuur vous!
Bon, je suis désolée d'avoir à faire cette demande, surtout que normalement, je finis mes fiches rapidement, surtout quand le contexte et mon personnage m'inspirent vraiment. Le truc, c'est qu'entre ma procédure post-bac, et mon papa hospitalisé, j'avais soit pas le temps, soit pas la tête à ça. Normalement, mon papa sort demain et de plus, j'ai tout préparé pour le post-bac, donc, j'aurais fini lundi ou mardi, à mon avis, mais ça ira au-delà du délai… J'aimerais si c'est possible avoir un délai supplémentaire de deux-trois jours, si ça ne vous dérange pas, évidemment.
(je préfère tout de même me justifier, vous montrer que oui, je suis toujours motivée pour faire ce personnage et rejoindre la troupe ahah )