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 Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline|

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Serena A. Montaigu
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MessageSujet: Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline|   Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline| EmptyMer 1 Avr - 19:11

Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre.
Serena & Rosaline

 
«On dit que rien n’arrive par accident, on se prend parfois la réalité en pleine figure, et parfois, elle s’impose lentement à nous, malgré tout nos efforts pour l’ignorer... » ▲ Un meurtre ne laissait jamais personne indemne, encore moins le meurtre d'une personne chère à votre cœur. La perte d'un membre de votre famille était la pire chose qui pouvait vous arriver. Depuis qu'elle avait appris la mort de son cousin, Serena était l'ombre d'elle-même. Sous ses allures de jeune fille rebelle, qui se fou de tout, elle était très affectée par cette mort. La jeune blonde qui était très renfermée sur elle était maintenant plus qu'un fantôme. Ses parents ne la voyaient presque plus, elle ne rentrait plus chez elle, sauf pour prendre des affaires et l'école appelait depuis plusieurs jours pour savoir où elle se trouvait puisqu'elle séchait les cours.

Où Serena pouvait bien se cacher ? Je peux vous le dire !

À vrai dire, elle passe son temps cachée chez ses cousins : les Woolston. Entre Abraham qui avait toujours une bonne herbe pour partir sur une autre planète et le Club de Balthazar, Serena avait tous les bons moyens pour ne plus penser la tragédie qui venait de faire survenir dans sa famille. Quand certains préfèrent le recueillement calme et prier, Serena elle, se bourrait la gueule toutes les nuits et se défonçait dès son réveil. C'était loin d'être sérieux, mais au moins elle ne pensait plus au cauchemar qu'elle vivait.

« Serena ?... » Alors que la jeune blonde dormait dans la suite d'Abraham, elle l'entendit rentrer dans la chambre pour le réveiller « Ton père viens d'appeler, il veut être sûr que tu vas bien te rendre au shooting photo ?.. »

La jeune fille releva la couette au-dessus de sa tête pour lancer un regard noir à son cousin.

« Tu te fous de ma gueule ? »

« Tu lui as apparemment promis.. »

« Oui, mais ça s'était avant ! Je ne vais pas aller sourire devant un appareil photo ! Il me prend pour qui celui-là ?!? »

Abraham se rapprocha alors du lit de sa cousine et s'installa sur le rebord.

« Serena... Ça va bientôt faire trois jours que tu ne passes ton temps enfermé.. Je pense que sortir un peu te fera du bien. »

La blonde leva les yeux au ciel avant de reprendre sa couette pour s'emmitoufler en dessous.

**

Quelques minutes plus tard, Serena sortie de l'hôtel de son cousin habillée, coiffée et maquillée. Une limousine l'attendait pour la conduire à la séance photo. Son père avait décidément tout prévu..., Serena ne comprenait pas comment il pouvait autant tenir à une vulgaire séance photo. Serena était loin, très loin d'avoir envie de se faire maquiller, pouponner et sourire devant un objectif. Même si la cause n'était pas si mauvaise, après tout, c'était pour une association, la jeune fille y allait à reculons..

« Tower Hill... C'est une blague ?! »

Serena ronchonnait à l'arrière de la voiture. Elle devait déjà se rendre à une séance photo, mais en plus dans un des quartiers où elle se sentait le moins à l'aise. Cet endroit avec toutes ses maisons de luxes et les petites madames chipanpan qui pètent plus haut que leur cul et qui se pensent au-dessus de tout le monde, ce n'était pas pour elle. Elle avait toujours était bien plus à l'aise dans les quartiers de la zone nord. Camden Town, par exemple, était sa nouvelle maison. Malgré tous ses foutu touriste, il y avait un tas de personnes là-bas avec qui Serena s'entendait bien.


Une fois sur les lieux de la séance, Serena se laissa maquiller et habiller. Elle n'avait donné qu'une seule consigne : ne pas cacher sa véritable personnalité. Il était hors de question de lui coller une robe à fleurs avec un grand chapeau de paille ! Oubliez également les petites coiffures de saintes nitouches. Elle laisse donc ses longs cheveux blonds ondulés libres et garda un maquillage bien charbonneux. Alors qu'elle avait presque fini de refermer son corset, elle tomba nez à nez avec la seconde personne qui devait participer à ce shooting.

« Qu'est-ce que tu fous là Marchal ? » L'appeler par son prénom lui aurait fait bien trop d'honneur ! Serena ne pouvait pas supporter cette petite garce ! Cette petite capricieuse qui pouvait obtenir tout ce qu'elle voulait grâce à son formidable petit papa d'amour exacerbé Serena au plus haut point. Si elle avait su qu'elle était là, jamais elle ne s'y serait rendu ! Ou alors peut-être que si, mais elle lui aurait préparé une magnifique crasse ! « Tu sais quoi ? J'en ai rien à faire ! Par contre bouge-toi, je n'ai pas que ça à faire de ma journée ! » Lui cracha Serena en la bousculant pour passer.

La jeune Montaigu alla alors se placer sur le plateau et attendit la Capulet...
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Rosaline S. Marchal
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MessageSujet: Re: Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline|   Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline| EmptyDim 26 Avr - 13:01


Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre.
« Oui Nelly, qu’est-ce que tu veux, je suis sur le chemin pour mon prochain shooting. » Rosaline venait de décrocher l’appel de sa collègue mannequin, assise à l’arrière du scooter qui la menait à son rendez-vous. Elle avait pris le réflexe de brancher ses écouteurs dans le cas d’appels urgents.

« Qu’est-ce qu’on ne m’a pas dit sur ce shooting ? C’est juste pour la couverture du Elle britannique, c’est ce qu’on m’a dit. Sois brève chérie j’arrive bientôt. »

Le seul son que put distinguer Rosaline fut celui de grésillements qui manquèrent de la rendre sourde. D’un geste, elle raccrocha dans un soupire. Elle oublia dans l’instant que cette conversation téléphonique avait été très inutile. Cachée derrière son casque de protection, elle regarda les gens qui défilaient sous ses yeux, les immeubles qu’elles connaissaient par cœur. Puis lorsqu’elle fut arrivée dans le quartier de Tower Hill, elle remercia son chauffeur puis s’éclipsa sans trop de cérémonie. Elle salua le staff puis reprit une marche accélérée, enfin, jusqu’à ce qu’elle tombe sur une jeune femme, qu’elle connaissait plus en mal qu’en bien. La jeune femme ne put s’empêcher d’arborer son plus grand sourire à son attaque. Ce qu’elle foutait là, elle pouvait bien lui retourner la question mais elle fit le lien avec l’appel de Nelly.

« Salut… » répondit-elle en la toisant de haut en bas. « Entre personnes civilisées, un bonjour aurait suffit. »  dit-elle en reprenant sa route vers les loges.

Puis elle se retourna et se mit à marcher à reculons.

« Et pour ta gouverne, je suis là parce que c’est un peu mon métier. Je ne sais pas si tu es aussi là aussi pour le shooting, si c’est le cas alors j’attends ça avec impatience. »

Elle lui adressa un clin d’œil et s’éclipsa dans une des loges. Là, elle fut accueillie par une accessoiriste, une maquilleuse et coiffeuse. Sans perdre une minute, elle se déshabilla et enfila un peignoir.

« Excusez-moi mesdames mais Serena Montaigu est-elle vraiment là pour le shooting également ? »

Un silence de mort s’installa, les employées n’osèrent pas répondre.

« Très bien... » dit-elle en s’écroulant dans le fauteuil.

On la maquilla et coiffa de manière assez romantique. Complètement à l’opposé de la Montaigu. Mais Rosaline ne s’en souciait guère. Que signifiait toute cette mascarade ? Et surtout, pourquoi n’avait-elle pas été mise au courant ? Elle serra les dents et tenta de trouver une réponse autour d’elle mais personne ne semblait disposer à ouvrir sa bouche. Quelqu’un devait payer et quelqu’un allait payer. On lui assigna une tenue qu’elle enfila avec l’aide de l’accessoiriste. Cependant, son aide fut presque inutile. Princesse Rosaline était énervée et elle n’avait besoin de personne pour l’habiller. Dès qu’elle eut enfilé ses escarpins, elle ne fit pas prier pour prendre la direction du plateau de shooting. Elle feint de reprendre son assurance insolente et se présenta avec son sourire narquois, son regard fixé sur Serena.

« Je pensais que tu étais là en tant que stagiaire mais apparemment mademoiselle a eu une promotion. Espérons que tu n’y prenne pas goût. »



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Serena A. Montaigu
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MessageSujet: Re: Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline|   Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline| EmptyLun 25 Mai - 9:46

Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre.
Serena & Rosaline

 
«On dit que rien n’arrive par accident, on se prend parfois la réalité en pleine figure, et parfois, elle s’impose lentement à nous, malgré tout nos efforts pour l’ignorer... » ▲Serena commençait à trouver le temps long… Très long… Elle ne pouvait pas arriver à l’heure comme tout le monde ? Eh bien, non, Rosaline était au-dessus de tout cela, madame se faisait attendre !
Lorsqu’elle rejoignit enfin tout le plateau qui commençait à s’impatienter, elle lança une remarque sanglante à la Montaigu. Cette remarque la fit bouillonner.

« Fait attention à toi ma jolie.. Si tu ne veux pas voir ton beau visage égratigner.. Ce serait dommage quand même… »

Serena releva le bras pour lui montrer un de ses bracelets couverts de petits piquants. Ça peut paraître excessif comme réaction, mais la jeune blonde n’hésiterait en aucun cas à le faire. Le photographe arriva ensuite pour expliquer aux filles en quoi consistait le photoshoot d’aujourd’hui.

« Tout d’abord, merci d’être venu les filles, toutes mes condoléances pour les récents évènements.. » Serena fit alors une petite moue… Pourquoi tout le monde se sentait toujours obligé de parler de la récente tragédie… Pour être poli ? Eh bien c’était de loin ce qu’il y avait de plus agaçant ! « Alors comme vous l’avez sans doute remarqué, on a décidé de faire un shoot en vous laissant votre style habituel. Le but ici n’est pas de montrer qu’il y en a une mieux que l’autre, mais que les deux sont aujourd’hui à la mode. Je vais m’occuper des photos, et il me semble que dans 2 semaines, vous serez interviewées. Donc pour commencer, je vous propose de vous mettre sur les cubes là-bas et essayer d’être le plus naturel possible. Ok les filles ? »

Serena acquiesça avec un petit sourire. Les choses devenaient sérieuses et elle ne pensait plus à se chamailler avec l’autre blondasse, mais à bien faire son travail. Elle se dirigea avec les petits cubes blancs qui faisaient penser à un podium. Bon, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait prendre en photo, mais elle ne savait pas vraiment quoi faire. Après quelques petites réflexions, elle s’essaya sur le cube le plus haut. Elle espérait avoir pris la place de Rosaline. Cette pensée la fit sourire, mais elle se re concentra aussitôt après. Elle se dirigea avec les petits cubes blancs qui faisaient penser à un podium.
Une fois miss chichipanpan en place, le photographe commença ses clichés. Toujours en restant assise, Serena changeait la position de ses jambes, de ses bras. Elle était une fois penchée en avant, puis en arrière. Elle avait parfois un regard méchant, parfois un regard plus perçant.

Finalement, ce n’était pas si nul que cela un photoshoot !

« C’est super les filles ! Je vous laisse aller enfiler une autre tenue pendant qu’on change le plateau ! »

Tandis qu’elle retournait en loge, Serena entendit que les photos seraient sur de nombreuses pages du magasine et qu’il s’agirait du gros titre du journal. La Montaigu était heureuse de savoir qu’elle allait se retrouver en première page d’un vrai magasine de mode, et pas d’un vulgaire magasine people qui lui prétendait une certaine liaison, ou une énième histoire de drogue.
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MessageSujet: Re: Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline|   Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. |Serena&Rosaline| Empty

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